Il existe une multitude de bureaux d’enregistrement de par le monde. Les uns appartiennent partiellement aux États tandis que d’autres sont des entités entièrement privées.

Cet article fait la lumière sur le rôle et le fonctionnement du registrar sur Internet.

Définition et rôle du registrar

Le terme “registrar” est d’origine anglaise et a pour équivalent direct français “registraire”. Aussi appelé bureau d’enregistrement, un registrar est une structure qui se charge d’accomplir les formalités administratives et techniques afin d’enregistrer un nom de domaine.

Ces démarches sont faites auprès d’un registre ou “Network Information Center” (NIC) qui gère l’extension recherchée.

En d’autres termes, le registraire joue un rôle d’intermédiaire entre le NIC et le “registrant”. Le registrant est la personne morale ou physique qui demande à avoir le nom de domaine afin de le faire enregistrer.

Le bureau d’enregistrement facture ses services au demandeur du nom de domaine. Une partie de cette somme est ensuite reversée au registre.

L’ensemble des noms de domaine que le registraire a fait enregistrer constitue une base de données. La maintenance de celle-ci est sous la responsabilité du bureau d’enregistrement. Il doit la mettre à jour régulièrement afin d’aider le système DNS à bien fonctionner.

Fonctionnement du bureau d’enregistrement

Avant de fournir ses prestations aux tiers, il faut que le registrar se fasse accréditer par le NIC. En France, le Network Information Center est l’AFNIC. Celle-ci est placée sous la supervision de l’ICANN.

Puisqu’il existe une multitude d’extensions et qu’elles ne sont pas gérées par un seul registre, le bureau d’enregistrement est obligé d’avoir une accréditation pour chaque NIC. Il faut donc qu’il ait plusieurs accréditations en fonction des extensions qu’il commercialise.

Peu importe l’extension, voici comment il attribue un nom de domaine à un acheteur :

Ce modèle de fonctionnement du registraire peut légèrement varier en fonction du nom de domaine demandé.

L’ICANN et les registraires

L’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN) est le régulateur mondial des noms de domaine. Il joue un rôle de centralisation de ces noms de domaine et détient officiellement une liste de bureaux d’enregistrement accrédités.

À cet effet, chaque registrar est tenu de se soumettre aux règles que ce régulateur basé en Californie définit. Un bureau d’enregistrement ne peut donc pas attribuer de noms de domaines de premier niveau aux demandeurs de façon arbitraire.

Noms de domaine de premier niveau

Il s’agit de la dernière partie d’un nom de domaine enregistré. C’est la section après le dernier point. Il en existe 3 groupes.

Les nationaux du premier niveau

Il s’agit des noms de domaine dont les extensions sont associées aux pays ou États. Leur gestion est souvent confiée aux autorités locales sous le regard de l’ICANN. Le registrar n’a pas le droit de les commercialiser. Il peut toutefois les mettre en location.

En France, l’extension nationale de premier niveau est le .fr et est gérée par l’AFNIC. Cette organisation gère aussi les extensions liées aux territoires français d’outre-mer (DROM-COM). L’extension .eu est celle qui est associée à l’Union européenne et est gérée par l’ERID.

Les génériques du premier niveau

À l’instar des extensions nationales, les domaines génériques de premier niveau ne peuvent pas être commercialisés de façon définitive par le bureau d’enregistrement. Il s’agit d’extensions également administrées par des entités secondaires.

L’une des entités secondaires les plus connues est Verisign. Elle gère les extensions .com, .net et .org.

Parmi les extensions génériques de premier niveau, il y en a qui sont restreintes. Elles ne sont attribuées qu’à certaines entités précises. Il s’agit par exemple du .biz et du .pro.

Avant de pouvoir utiliser ces deux extensions, le demandeur doit fournir au registraire des documents qui prouvent qu’il exerce une profession ou qu’il est un entrepreneur.

Les parrainés du premier niveau

Il existe dans le monde très peu de bureaux d’enregistrement capables d’enregistrer ces types de noms de domaine. En effet, ces extensions sont généralement sous l’administration exclusive des registres.

Dans cette catégorie d’extensions, il y a le .gov qui est exclusivement attribuée aux organismes d’un gouvernement. L’extension parrainée .edu est réservée au secteur de l’éducation. Quant au .museum, c’est une extension parrainée par le secteur muséal.

Critères pour choisir le registraire

Tous les registraires ou bureaux d’enregistrement ne s’équivalent pas en matière de qualité de service. Pour en choisir un, il faut tenir d’abord compte du prix qu’il pratique. L’idéal est qu’il soit attractif, mais réaliste en comparaison de prix pratiqués sur le marché.

Ensuite, il faut prendre en compte la durée d’inscription. Elle doit être flexible. Le troisième critère pour choisir un registraire est la protection WHOIS qu’il offre. Cette protection doit être gratuite.

Le quatrième critère à considérer est le package de services de renouvellement. Il faut que le bureau d’enregistrement en propose.

En dernière position, il y a les services supplémentaires, dont les certificats SSL, le référencement, les boites e-mail professionnelles, etc. Tous les registraires ne proposent pas ces produits/services additionnels.

En plus de respecter tous ces critères, si le registrar de votre choix commercialise un grand nombre de domaines de premier niveau, c’est généralement qu’il est considéré comme un excellent prestataire.

Quelques exemples de registrar :

Qu’est-ce qu’une injonction de payer ? 

L’injonction de payer s’apparente à une procédure permettant à une personne, appelée créancier, de recouvrer certaines créances auprès d’une autre personne, appelée débiteur. Par la mise en oeuvre de cette procédure, il s’agit de recouvrir une dette. L’avantage de l’injonction de payer est qu’elle est rapide et fait intervenir divers acteurs judiciaires tels que les juges ou les huissiers. 

Ainsi, l’injonction de payer ressemble à la lettre de mise en demeure de payer. Cependant, la première implique l’intervention des instances judiciaires. En effet, lorsqu’un créancier constate que son débiteur ne respecte pas son obligation de paiement, il peut engager une procédure d’injonction de payer. Cette procédure sera engagée devant le tribunal compétent. 

Le juge va contraindre le débiteur à rembourser la somme due au créancier. Par ailleurs, il convient de préciser qu’il s’agit d’une procédure non-contradictoire. En ce sens que le débiteur ne va pas être entendu à ce stade de la procédure. Toutefois, si le débiteur souhaite contester cette demande d’injonction de payer, il pourra former opposition. À ce moment-là, il sera entendu par le juge. 

L’injonction de payer : Conditions et Formalités préalables 

Les formalités 

Comme précisé ci-dessus, l’injonction de payer est une procédure qui fait intervenir les instances judiciaires. Ainsi, il est préférable de l’utiliser en dernier recours. Cela signifie qu’avant de la mettre en oeuvre, il convient de privilégier d’autres méthodes telles que les appels téléphoniques, l’envoi d’emails ou encore l’envoi d’une lettre de mise en demeure de payer. 

Qu’est-ce qu’une lettre de mise en demeure de payer ? Utilisée dans le cadre d’un litige, la lettre de mise en demeure de payer est un moyen de réclamation envers l’autre partie afin que celle-ci remplisse ses obligations dans un délai spécifique. Son objectif est de faire pression sur l’autre partie afin qu’elle agisse conformément à ses engagements. Si l’autre partie ne se conforme pas à cette mise en demeure dans le délai imparti, elle s’expose à des poursuites judiciaires (exemple : l’injonction de payer). C’est notamment le cas si le débiteur ne paye pas le créancier. 

À noter : Pour vous aider dans la rédaction de votre lettre, nous avons un modèle de lettre de mise en demeure.

Ensuite, il convient de préciser que la requête d’injonction de payer peut être initiée par : 

Enfin, le débiteur ne doit pas nécessairement être informé. En effet, il s’agit d’une procédure non-contradictoire. Ainsi, il n’a pas besoin d’être entendu par le juge donc le créancier n’est pas dans l’obligation d’informer préalablement le débiteur de cette requête. Toutefois, si celle-ci aboutie, un huissier l’en informera et le débiteur disposera d’un délai d’un mois pour faire opposition à cette requête. 

La créance 

La créance, élément principal de la procédure d’injonction de payer, doit remplir certaines conditions cumulatives. En effet, celle-ci doit être : 

Le déroulement de la procédure d’injonction de payer 

Il convient de préciser que votre requête d’injonction de payer devra être portée devant un tribunal. Ainsi, pour savoir quel tribunal est compétent, cela dépend de la nature de votre créance : 

Une fois la compétence du tribunal déterminée, votre requête doit être déposée auprès du greffe de ce tribunal. Toutefois, pour être valable, la requête doit contenir un certain nombre d’éléments tels que : 

Il est également possible d’effectuer votre requête par le biais d’un des formulaires Cerfa suivants : 

Il vous est, également, possible d’effectuer vos démarches (déposer votre requête) en ligne sur le site : justice.fr 

S’agissant des pièces justificatives à transmettre, il s’agit : 

À noter : L’ensemble de ces pièces doit être signé et daté.

Dans certains cas, il peut aller jusqu’à 60 jours suivant la facturation dans la mesure où ce détail est indiqué noir sur blanc dans le contrat. Cependant, les entreprises ayant consenti ce délai de paiement (créance commerciale) à leurs clients peuvent rapidement se retrouver face à des impayés.

Dans une telle situation, même les entreprises les plus stables financièrement peuvent voir leur trésorerie impactée et avoir par conséquent des difficultés à régler à leur tour le personnel et les fournisseurs. Tout cela pourrait se solder par une faillite. Une récente étude a affirmé qu’environ 25 % des défaillances d’entreprises seraient liées à des créances commerciales impayées.

Heureusement, il existe une solution qui, bien qu’étant mal connue du grand public, permet à toute entreprise de se protéger, et donc de maintenir la trésorerie nécessaire à son développement sans avoir à se préoccuper du recouvrement de créances : l’affacturage. Au cours de cet article, nous allons surtout nous attarder sur les différentes solutions d’affacturage pour les entreprises.

Affacturage : de quoi s’agit-il ?

Avant d’entrer dans le vif du sujet, nous allons d’abord découvrir ce qu’est l’affacturage, une solution aussi connue sous le nom de « factoring ». Son principe de fonctionnement s’avère relativement simple : vous cédez toute ou partie de votre poste client à un établissement financier spécialisé appelé le « factor » qui, à son tour, met en œuvre les opérations de relances ainsi que les démarches de recouvrement moyennant une commission qui se scinde en deux postes : commission de financement (un peu comme le taux d’un crédit bancaire) et la commission d’affacturage (celle qui rémunère le factor).

Pour se prémunir d’éventuels impayés, le factor évalue les risques qu’il prend et constitue en conséquence un fonds de garantie. Le montant de ce dernier est déterminé en amont de la signature du contrat de factoring. En général, le factor retient 10 % du montant de chaque facture que vous lui cédez jusqu’à ce que ce fonds de garantie soit complètement constitué. Par exemple, pour une facture de 1 500 € est cédée à 1 350 €, les 150 € étant affectés au fonds de garantie. Puis, une fois ce dernier entièrement constitué, vous pouvez être financé jusqu’à 100 % du montant des créances cédées.

Cette solution de financement comprend généralement 3 services, à savoir le financement des factures, la gestion intégrale du poste clients (relance, recouvrement et règlement) et l’assurance-crédit. En profitant de ces prestations, vous pouvez financer facilement votre poste client tout en éliminant les risques d’impayés qui, en l’occurrence, sont portés par votre factor.

Trouvez la solution de financement adaptée grâce au comparateur d’affacturage

Face au nombre de factors ainsi qu’aux offres d’affacturage qui ne cessent de se multiplier, trouver la solution idéale qui vous permettra de financer vos factures clients ou régler dans les plus brefs délais vous fournisseurs peut se révéler fastidieux. C’est pourquoi il apparaît plus pertinent de vous orienter directement vers un comparateur de factoring en ligne. Simple d’utilisation, gratuit et sans engagement, cet outil vous aide à trouver le meilleur factor, c’est-à-dire celui qui propose le produit qui s’adapte parfaitement au profil de votre entité ainsi qu’à toutes les spécificités de votre secteur ou de votre métier, et ce, avec un taux compétitif.

Votre recherche de financement peut se faire facilement puisque le comparateur propose des gammes de solutions classées selon les secteurs d’activités ou les types d’entreprises.

À qui se destine le factoring ?

L’affacturage est une solution de financement qui s’adresse aussi bien à toutes les entreprises (SARL, SA, SAS, SASU, EURL, EI, SNC, SCP, SCOOP…) qu’aux artisans, associations, commerçants, professionnels libéraux et micro-entrepreneurs, et ce quel que soit le secteur dans lequel ils évoluent, quelle que soit leur taille (TPE, ETI, PME, grand compte…) et qu’ils soient exportateurs ou non.

Puisque les factors ont fait le choix de multiplier les gammes de solutions ainsi que les expertises sectorielles, vous ne risquerez certainement de passer à côté de celle qui s’adapte parfaitement aux besoins de votre entreprise et qui répond au mieux aux contraintes et spécificités de votre secteur d’activité. Pour que vous puissiez mettre facilement la main sur la perle rare, nous vous conseillons de vous aider d’un comparateur d’affacturage en ligne.

Les différentes solutions d’affacturage dédiées aux entreprises

Le terme affacturage englobe différentes formes de factoring, chacun ayant ses spécificités. Parmi celles-ci, on cite principalement :

Le factoring classique ou standard

En l’occurrence, une fois le contrat d’affacturage signé :

L’affacturage semi-confidentiel

L’affacturage semi-confidentiel s’adresse particulièrement à toute entreprise qui dégage un chiffre d’affaires plus conséquent. Ici, vous cédez vos créances à votre factor tout en traitant en interne les relance ainsi que l’encaissement des créances clients. Autrement dit, bien que chacun de vos clients connaisse l’existence du factoring, il vous paie à l’échéance prévue et non votre factor. L’intervention de ce dernier se limite alors à l’avance du montant de vos créances. L’affacturage semi-confidentiel constitue une alternative intéressante si vous n’avez aucun souci de recouvrement et que vous ne désirez pas en confier la gestion à un tiers.

L’affacturage confidentiel

Cette version se destine aux entreprises qui ne désirent pas informer leur clientèle du contrat de factoring qui les lie avec leur factor. À part cela, son principe de fonctionnement est le même que celui du factoring semi-confidentiel : vous cédez vos factures à l’établissement d’affacturage, ce dernier vous avance leur montant, vous vous occupez du recouvrement et l’encaissement des créances.

Le reverse factoring ou affacturage inversé (financement des fournisseurs)

Ce dispositif vous convient parfaitement si vous êtes une grande entreprise évoluant dans le secteur de la distribution (centrale d’achat des magasins, grande et moyenne surface, grande distribution…). Il vous permet de payer vos fournisseurs avant même l’échéance contractuelle de paiement sans avoir à faire appel à votre trésorerie et d’améliorer par conséquent votre image auprès de ceux-ci. Ces fournisseurs sont alors plus enclins à vous accorder d’importantes remises sur vos commandes. En même temps, vous sécurisez votre chaîne d’approvisionnement et renforcez vos relations avec vos fournisseurs en leur garantissant un partenariat qualitatif.

Un contrat de reverse factoring fait intervenir 3 acteurs : vous (donneur d’ordre), vos fournisseurs et le factor.

L’affacturage ponctuel

Le factoring ponctuel vous permet de financer ponctuellement une ou plusieurs factures sur les clients souhaités. Son intérêt réside notamment dans l’absence d’engagement annuel. Notez que ce type d’affacturage est souvent confidentiel.

L’affacturage import-export

C’est le genre de contrat de factoring auquel vous devez souscrire si vous entretenez des relations commerciales avec des entités étrangères. L’avance se fait en l’occurrence en devises.

Pour pouvoir en bénéficier, le client doit respecter certaines conditions. Dans le but de profiter de la meilleure offre, il est également judicieux de choisir en se basant sur plusieurs critères. De l’avis de nombreux experts, les meilleurs produits de carte bancaire se trouvent auprès des banques en ligne.

Quel est l’intérêt d’opter pour une carte bancaire gratuite ?

En examinant les produits proposés par les banques en ligne, les clients ont l’embarras du choix de cartes bancaires gratuites. Les offres sont variées et chaque segment de clients peut trouver une carte adaptée à ses besoins. Le meilleur moyen pour rendre le choix plus aisé est de faire une comparaison entre les offres disponibles sur le marché.

En misant sur les offres des banques à distance, le choix devient plus évident. Il suffit à cet effet de trouver une carte bancaire gratuite avec lesfurets.com. Ce faisant, il est possible de réaliser d’importantes économies, tout en bénéficiant d’une gamme de services haut de gamme.

Les conditions pour disposer d’une carte bancaire gratuite

Les dispositions ont été assouplies pour que tout le monde puisse être affilié à une banque en ligne. Il suffit d’être âgé de plus de 18 ans, et résidé en France tant physiquement que fiscalement. Pour disposer par la suite d’une carte bancaire gratuite, il existe toutefois quelques conditions. Il faut néanmoins noter que ces conditions varient d’une banque en ligne à une autre. Mais en général, il faut que le demandeur de la carte bancaire atteste d’un revenu minimum compris entre 1 000 et 1 600 euros en moyenne.

Pour ceux qui ont un revenu mensuel supérieur à 1 600 euros, ils n’ont que l’embarras du choix parmi les banques en ligne. Pour ceux qui ont un revenu de moins de 1 200 euros, le choix est plus restreint. Après, un client qui souhaite obtenir une carte bancaire gratuite doit effectuer un minimum de trois opérations bancaires. Par la suite, ses revenus doivent être hébergés auprès de la banque en ligne.

À chaque profil, une carte bancaire gratuite

Grâce à la prolifération des banques en ligne sur le marché financier et à la diversité de leurs offres, chacun peut choisir l’établissement qui réponde le mieux à ses attentes. Par conséquent, il est important de définir au préalable ses besoins en tenant compte de sa situation personnelle et financière.

Les particuliers ont le choix entre des cartes standard et des cartes plus spécifiques. La différence se situe au niveau des services et des privilèges qui accompagnent chacun des deux produits. Certaines banques proposent des cartes bancaires gratuites avec des assurances, ou encore des frais de rapatriement réduits ou inexistants.

Carte bancaire gratuite, que reste-t-il à payer ?

Cette question est fréquemment posée par la majorité des clients, qui souhaitent obtenir une carte bancaire sans frais. En général, toutes les banques en ligne ne facturent aucune forme de cotisation pour une carte de crédit. Cependant, il est impératif de souligner qu’il existe des situations qui impliquent des frais pour ce type de carte bancaire.

En effet, il y a des frais est à payer lorsque le plafond de retrait est dépassé et quand la carte bancaire gratuite est avalée par le distributeur de billets. Il faut de même s’attendre à des frais pour le renouvellement de la carte. Une opération en dehors de la zone Euro et un retrait à partir du distributeur d’un concurrent sont également soumis à certains frais.

Pour avoir la chance de disposer de l’offre de carte bancaire sans frais la plus avantageuse, il est conseillé de prendre en considération quelques points. Le plus important est de prendre le temps d’analyser au préalable, les frais liés à l’utilisation ainsi que les conditions d’obtention de la carte.

Il n’est d’ailleurs pas rare pour les créateurs d’entreprise de solliciter des sources de financement extérieures pour lancer leur activité. Parmi les plus populaires se trouvent le prêt bancaire, le crowdfunding ou encore les aides gouvernementales.

Lorsqu’il s’agit de financer l’équipement de l’entreprise et notamment le matériel informatique, les véhicules, le mobilier, etc., le leasing est un mode de financement qui séduit plus d’un entrepreneur. Prenant la forme d’une location ou d’un crédit-bail, le leasing permet en effet de disposer d’un équipement de qualité pour une durée à moyen ou long terme.

Mais le leasing est-il réellement une solution pour votre société ? Nous nous penchons sur la question dans la suite de l’article pour vous expliquer tous les avantages du leasing en entreprise.

Comprendre le fonctionnement du leasing

Le leasing est une opération de financement à laquelle l’entreprise peut recourir pour se fournir en équipement : voiture de service, parc informatique, mobilier de bureau… Ce crédit-bail est un contrat qui lie 3 parties prenantes dont : le fournisseur de matériel, l’entreprise qui loue le bien soit le crédit preneur, et l’établissement financier ou crédit bailleur.

La demande de crédit sera alors adressée à la société de leasing, qui à son tour négociera les conditions de vente du matériel dont vous avez besoin auprès d’un vendeur.

Le crédit bailleur procédera ensuite à l’achat en se servant d’un apport initial et le louera pour une durée déterminée précisée dans un contrat à la société de leasing. De ce fait, il restera juridiquement propriétaire du bien mis à votre disposition pendant la durée de la location financière. Avec des professionnels du leasing, vous aurez par exemple la possibilité de procéder à la location d’ordinateur mac pour votre entreprise afin de faire bénéficier vos employés des meilleures solutions informatiques pour votre entreprise.

Leasing : quels coûts pour l’entreprise ?

En tant que crédit preneur, votre entreprise aura l’obligation de payer une somme régulièrement. D’autres frais viendront aussi s’ajouter à ce montant.

Le loyer

le contrat de leasingLe loyer à payer auprès de la société de leasing inclut la part liée à la mise à disposition immédiate du bien et la part liée au paiement par anticipation du prix du bien.

Le paiement quant à lui peut être mensuel, trimestriel ou annuel. Il est important de savoir que plus la durée de la location est longue, moins le loyer sera élevé. Un bien à valeur résiduelle élevée donne également lieu à un loyer bas en général.

Le dépôt de garantie

Le leasing prévoit le paiement d’un dépôt de garantie qui sera restitué à la fin de la location s’il n’y a pas de levée d’option. Son montant est fixé à 15% du prix du bien s’il s’agit d’une location avec option d’achat (LOA).

L’assurance

La souscription à une assurance est souvent prévue dans le contrat de leasing pour couvrir les risques de perte et les dommages aux tiers. Dans ce cadre, il n’est pas rare que le crédit bailleur impose la compagnie auprès de laquelle souscrire l’assurance.

La maintenance

En annexe du contrat de leasing, vous devrez également signer un contrat de maintenance vous engageant à entretenir le matériel mis à votre disposition.

Les pénalités

Le non-respect des clauses du contrat de leasing peut exposer au paiement de pénalités particulièrement coûteuses. Celles-ci peuvent être demandées, entre autres, en cas de résiliation anticipée du bien ,mais en aucun cas le montant de la pénalité ne peut égaler celui du bien à l’achat. Par contre, il peut correspondre à ¾ ou 4/5ème des loyers restant à payer jusqu’à la fin du bail.

Les enjeux du leasing pour l’entreprise

Le leasing de matériel est une solution qui est très plébiscitée par les entreprises. Pour bien apprécier tous les apports de cette solution, il serait donc avisé d’en mesurer les enjeux :

Les avantages du leasing

Les inconvénients

Le leasing ne présente que quelques inconvénients :

Le leasing est une solution que l’entreprise peut choisir lorsqu’elle veut financer un équipement particulièrement coûteux et qu’elle ne dispose pas de fonds propres suffisants pour ce faire. Avant de se décider sur ce financement, il convient tout de même de bien choisir le type d’investissement, car si au final le bien loué ne peut être amorti, la location peut coûter très cher à l’entreprise. Il y a donc lieu de simuler au préalable l’amortissement de l’objet du leasing.

Dans ce cadre, il faut retenir que le leasing sera réellement rentable pour un équipement destiné à être utilisé sur une certaine durée.

Le recours à un courtier en assurances est devenu une option intéressante pour trouver le contrat le mieux adapté aux besoins de l’entreprise et obtenir des conseils avisés en matière de garantie décennale. Qui est ce professionnel ? Quelles sont ses missions ? Quels sont les avantages de recourir à ses services ? Découvrez dans ce guide les raisons de faire confiance à un courtier en assurance décennale.

Qu’est-ce qu’un courtier en assurances ?

Le courtier en assurances est un professionnel indépendant du milieu assurantiel. Ses missions sont encadrées par le Livre V du code des Assurances. Comme tout courtier, il joue un rôle d’intermédiaire entre les assureurs et les assurés. Il est mandaté par son client afin de défendre ses intérêts et dénicher le meilleur contrat qui convient à ses besoins parmi les différentes offres proposées par les compagnies d’assurances. Il est ainsi indépendant de ces dernières mais peut être rémunéré par le biais d’un pourcentage qu’elles versent sur chaque contrat signé ou encore grâce aux honoraires réglés par le client.

Mais, la principale mission d’un courtier comme assurance-decennale.com est le conseil notamment en ce qui concerne les meilleurs tarifs. Grâce à son expertise et à sa connaissance parfaite du marché des assurances, il dispose des compétences nécessaires pour guider son client. Comme son nom l’indique, le courtier en assurance décennale est spécialisé dans les offres de garantie décennale. Pour rappel, l’assurance décennale, également appelée garantie décennale ou assurance de responsabilité civile décennale, couvre les dommages pouvant affecter la solidité ou la destination d’un bâtiment pendant une durée de 10 ans à compter de la réception du chantier. Elle peut être impliquée aussi bien dans une nouvelle construction que dans des travaux de réhabilitation, de rénovation ou d’aménagement.

Quelles sont les missions d’un courtier en assurance décennale ?

Le courtier en assurance décennaleLes missions d’un courtier en assurances sont multiples. En fonction des besoins de son client, il peut jouer le rôle de conseiller, de commercial ou de négociateur. Le premier rôle du courtier en assurances est de conseiller son client. Il analyse la demande de celui-ci afin de lui proposer le contrat le plus adapté à ses besoins. Grâce à sa connaissance du marché, il saura repérer les risques potentiels pour proposer à son client les meilleures garanties. Il reste aussi à sa disposition pour l’éclairer sur les points qu’il ne comprend pas. Bien sûr, il l’aide aussi à choisir et obtenir les meilleurs tarifs en assurance décennale.

Pour mener à bien ses missions, le courtier mène aussi une mission de contrôle. Il va s’assurer que son client possède les capacités nécessaires pour comprendre les différents aspects du contrat auquel il va souscrire. Pour cela, il va confronter plusieurs éléments, dont la situation financière, le niveau de risque et les activités menées par son client. En fonction de ces données, il va déterminer les couvertures dont celui-ci a besoin. C’est là qu’il va entrer en contact avec les compagnies d’assurances et jouer de son talent de négociateur. Les assureurs lui font souvent des concessions pour la simple et bonne raison qu’il peut leur apporter des dizaines, voire des centaines de clients.

Ainsi, le rôle du courtier en assurances commence avant, au moment de la signature du contrat, et éventuellement pendant la durée de celui-ci. En effet, il peut aussi assurer la gestion et le suivi administratif du contrat en fonction des clauses du contrat. Il peut également accompagner l’assuré dans les démarches à faire en cas de sinistre.

Il est important de ne pas confondre le rôle du courtier en assurance décennale avec celui d’agent général d’assurances. Ce dernier est mandaté par une compagnie d’assurances. Il mettra donc en avant les offres de celle-ci dans ses missions.

Quels sont les avantages de passer par un courtier en assurance décennale ?

Faire appel à un courtier en assurance décennale procure de nombreux avantages :

Bénéficier des services d’un expert

Recourir aux services d’un courtier en assurance décennale, c’est bénéficier de l’accompagnement d’un professionnel rodé dans le domaine des assurances, et plus précisément dans les offres de garantie décennale. Afin de mieux comparer les offres, il standardise celles-ci. Il se sert de sa connaissance du marché et de son large réseau de partenaires afin de trouver l’offre qui répond le mieux aux besoins et au budget de son client. Cette capacité à identifier une offre personnalisée qui élimine les différents pièges de l’assurance relève de l’aptitude d’un expert.

Gagner du temps et de l’argent

Pour trouver une offre d’assurance décennale, vous pourriez bien évidemment faire les démarches vous-même en contactant une à une les compagnies d’assurances, en demandant des devis et en comparant les offres. Mais, il s’agit là d’un périple long et fastidieux. Il se peut aussi que vous passiez à côté de certaines offres très intéressantes. Faire appel à un courtier vous permet de gagner du temps dans cette démarche. En effet, tout déplacement et toute analyse liée à la recherche du meilleur contrat vous seront épargnés. Le courtier s’occupe de tout de A à Z.

Par ailleurs, grâce aux négociations qu’il mène, le courtier peut vous dénicher les meilleurs tarifs et vous faire économiser sur les mensualités.

Trouver un contrat idéal pour votre situation

L’avantage principal de solliciter les services d’un courtier en assurances est de profiter de son expertise et de sa connaissance du marché de l’assurance. En tant que professionnel indépendant, il travaille pour servir les intérêts de son client. Il va dénicher pour lui la meilleure garantie décennale qui prend non seulement en compte ses besoins, mais aussi ses exigences en termes de prix et de garanties.

Bénéficier d’un accompagnement permanent

Le courtier en assurance décennale n’intervient pas seulement à l’amont de la souscription d’un contrat adapté aux besoins de son client. Son intervention va également au-delà en incluant le suivi du contrat et le respect des clauses de celui-ci. Il réalise une veille constante sur l’évolution du marché et des besoins du client. En fonction de ces paramètres, il peut proposer à son client de changer d’assureur. En cas de sinistre, il gère aussi les dossiers pour faire bénéficier son client d’une indemnisation optimale.

En somme, le recours à un courtier en garantie décennale permet de bénéficier :

Le nombre de professionnels œuvrant dans les métiers de la petite enfance ne parvient pas à combler une demande très forte et toujours croissante, ce qui entrave très souvent la reprise du travail pour les parents. D’ailleurs, les difficultés liées à la garde d’enfants concernent aussi bien les couples de parents que les familles monoparentales.

Quelle serait la solution à privilégier du côté des dirigeants pour solutionner ce problème ?

Encourager la formation pour pallier le problème de la garde d’enfant

La garde d’enfant est la première des difficultés auxquelles les travailleurs sont confrontés après un congé parental. Vu que l’origine du problème se trouve être le déséquilibre entre l’offre et la demande, la solution la plus évidente est d’encourager les candidats à entrer dans le secteur notamment par une formation pour obtenir le CAP petite enfance grâce à laquelle ils pourront acquérir le savoir-faire nécessaire à la prise en charge des tout-petits. Avec le CAP Petite Enfance AEPE notamment, les adultes, quelle que soit leur situation professionnelle (chômeur, salarié, demandeur d’emploi) peuvent se former pour acquérir de nouvelles connaissances en la matière. Cette formation peut également être envisagée comme une solution de reconversion.

se former à la garde d'enfants

Les modalités de formations sont d’ailleurs diverses et variées, permettant ainsi aux parents salariés d’aménager leur temps pour se former :

Les causes des difficultés liées à la garde d’enfant

Plusieurs facteurs sont liés au problème de la garde d’enfant qui a pris aujourd’hui une ampleur sociétale.

Le premier est l’inégalité des congés parentaux. Effectivement, même si le nombre d’hommes qui ont recours à ce congé a sensiblement augmenté, il n’en reste pas moins que ce sont majoritairement les femmes qui le prennent. Cela est dû au fait que ces dernières sont moins bien payées que les hommes, et puisque l’allocation ne peut compenser la perte de revenus découlant du congé, les mères n’ont que 2 choix : arrêter toute activité, ou retourner à travailler et recourir à une solution de garde. La réforme du congé parental amorcé en 2015 et qui rend obligatoire le partage du congé entre les conjoints a d’autant plus contribué à accroître les besoins de garde des familles.

Par ailleurs, malgré le fait que les solutions de garde d’enfants soient nombreuses, force est d’admettre qu’elles ne comblent pas en totalité la demande. En France, le mode de garde le plus plébiscité reste l’assistant(e) maternel(le) à domicile, suivi de près par la crèche et en dernier les proches parents. Les crèches sont constamment bondées, et il est d’ailleurs important de rappeler que ces dernières ne sont pas toujours à la portée de tous et notamment des familles monoparentales.

Bien qu’elles soient très recherchées, les assistantes maternelles quant à elles sont devenues peu nombreuses. Cela est dû au fait que les nouvelles recrues se sont faites rares dans le métier depuis ces 5 dernières années. La situation est donc complexe aussi bien pour les salariés que les patrons qui souhaitent reprendre leur activité après la naissance d’un bébé. La famille proche n’est pas toujours disponible, ou trop éloignée, le secteur de la petite enfance gagnerait à voir plus de candidats tenter leur chance dans cette merveilleuse aventure.

Raison de plus pour encourager les candidats à se former pour le CAP Petite enfance !

Un déménagement d’entreprise exige une organisation encore plus pointilleuse que celle d’un déménagement privé. Dans cet article, découvrez les étapes à suivre pour qu’un déménagement d’entreprise se passe dans les meilleures conditions.

Planification et préparation d’un déménagement d’entreprise

Comme tout déménagement, un déménagement d’entreprise nécessite une bonne organisation. Voici les étapes à suivre.

La planification : anticiper le ménage et les étapes

L’organisation d’un déménagement d’entreprise commence par la phase de planification. Sans une planification efficace, pas de déménagement serein possible. Planifier signifie anticiper les grandes étapes du déménagement pour que tous les acteurs soient informés, prendre le temps de trouver une femme de ménage qualifiée pour son entreprise, faire en sorte que les délais soient respectés et que l’installation dans les nouveaux locaux se passe au mieux, dans un cadre propre et bien rangé propice à l’installation. Comme nous le verrons plus loin, le ménage joue un rôle crucial dans un déménagement efficace et sera une étape à ne pas ignorer.

C’est dans l’étape de la planification qu’il faut répondre à la question « pourquoi déménager ». La réponse à cette question va permettre d’orienter le choix de la bonne stratégie pour le plan de déménagement et d’adapter le cahier des charges à la situation. Il y a aussi le choix du moment propice pour déménager. Évidemment, vous n’allez pas déménager en pleine période d’activité. Choisissez une saison avec un creux d’activité, comme l’été.

La préparation

Une fois la date du déménagement fixée, il faut maintenant passer à la phase de préparation. Les préparatifs d’un déménagement d’entreprise sont complexes. Ils consistent entre autres à communiquer la décision au sein de l’entreprise, pour que les salariés soient informés et engagés dans le processus. Cette étape comprend aussi la recherche de nouveaux locaux, la signature du bail et l’élaboration du cahier des charges.

Le cahier des charges est un document très important dans la préparation d’un déménagement professionnel. Il doit détailler la phase opérationnelle du déménagement avec un planning et la liste des tâches à effectuer. Pour coordonner toutes ces tâches, un collaborateur peut y être affecté. Il est aussi possible de solliciter l’aide d’un expert du déménagement à qui vous pouvez demander des conseils et confier la réalisation du déménagement.

La préparation et l’aménagement des locaux

déménager l'entrepriseDéménager les bureaux implique de préparer l’arrivée dans les nouveaux locaux. Cela suppose l’aménagement du nouvel espace de travail pour qu’il soit en accord avec la stratégie adoptée par l’entreprise en termes de productivité.

Le nettoyage des nouveaux locaux

Plus qu’une simple décoration de l’intérieur, il s’agit ici d’installer les collaborateurs dans une atmosphère agréable qui favorise le bien-être et la motivation. La propreté des lieux fait partie des conditions pour y arriver. Vous pouvez bien entendu confier le nettoyage de vos nouveaux locaux à votre personnel de ménage habituel. Toutefois, faire appel à une femme de ménage qualifiée pour son entreprise est parfois préférable pour obtenir un résultat impeccable. Qualifiés pour le nettoyage après déménagement ou avant emménagement, les professionnels du ménage peuvent offrir des prestations sur mesure et adaptées aux besoins de chaque entreprise qui déménage.

Le ménage dans les anciens locaux

Les prestations d’une femme de ménage ne sont pas seulement utiles dans les nouveaux bureaux. Elles peuvent aussi être nécessaires lors de la restitution des anciens locaux. Certains bailleurs peuvent effectivement exiger un minimum de propreté après le départ des locataires.

La préparation du transport des équipements

Pour que les locaux soient prêts à accueillir les nouveaux occupants le jour de l’emménagement, il faut aussi préparer le transport des équipements et le transfert du parc informatique. Cette étape est incontournable pour éviter tout contretemps ou une panne de réseau internet le jour de l’emménagement. La préparation du transport des équipements passe par leur étiquetage et leur mise en place dans les cartons. Cette étape est propice au tri. Il faut savoir trier les objets et ne garder que l’essentiel. Si certains meubles peuvent être conservés, d’autres doivent être renouvelés. Le déménagement est une occasion idéale pour changer de décor et de mobilier.

En ce qui concerne le parc informatique, pour que celui-ci fonctionne correctement le jour J, il faut procéder à un inventaire, à une vérification et à l’étiquetage des équipements informatiques. Il faut aussi penser au transfert du réseau internet dans la nouvelle adresse de l’entreprise.

L’aspect juridique du déménagement d’entreprise

Un déménagement implique aussi de suivre certaines démarches administratives. Parmi elles figure la résiliation du bail. Il faut respecter le délai de préavis stipulé par le contrat de bail. Celui-ci est généralement de 6 mois pour un bail classique 3/6/9. Un retard de préavis peut faire reculer la date de départ d’au moins 3 mois.

Il faut aussi penser au transfert des contrats et au changement d’adresse. Une fois la nouvelle adresse de l’entreprise connue, il faut aviser les prestataires, clients et fournisseurs du changement d’adresse. Parmi les acteurs qui doivent être prévenus, on peut citer la compagnie d’assurance, les fournisseurs, la préfecture pour la mise à jour de l’immatriculation et du Kbis, la chambre de commerce et les autres registres professionnels liés à l’activité de l’entreprise. De même, il est aussi s’occuper du transfert des contrats de lignes téléphoniques et du réseau internet.

La gestion du personnel

Le déménagement d’entreprise ne va pas seulement entraîner un changement des locaux d’une entreprise. Il va aussi entraîner des bouleversements au sein des équipes. Tout le monde ne sera pas toujours enthousiaste à l’idée d’abandonner ses vieilles habitudes. Pour assurer une meilleure transition, il faut impliquer les collaborateurs au maximum dans le processus. Et la clé pour y arriver, c’est la communication. S’ils sont tenus à l’écart de l’évolution du projet, ils se sentiront peu concernés et cela ne fera que nourrir davantage leurs appréhensions.

Le fait d’organiser des réunions pour communiquer sur l’avancement du projet est une bonne chose. N’hésitez pas à nommer un référent par service qui jouera le rôle d’intermédiaire et qui fera circuler les informations des deux côtés.

La gestion du personnel lors d’un déménagement d’entreprise nécessite aussi de les impliquer au maximum dans le projet. Vous pouvez, par exemple, solliciter leurs avis dans le choix de la nouvelle adresse, l’aménagement des bureaux, etc.

Bref, la réussite d’un déménagement d’entreprise tient aussi bien du respect du cahier des charges que de l’implication du personnel. Elle nécessite aussi une bonne organisation du transport des équipements et du matériel informatique et de l’aménagement des locaux. Pour faire bonne impression le jour J, rien ne vaut un site bien propre ! Pour accueillir vos collaborateurs dans les meilleures conditions, il faut organiser un nettoyage efficace. Le recours à un prestataire du ménage après déménagement peut être nécessaire pour obtenir un résultat impeccable.

Voici quelques conseils qui vous permettront de gérer au mieux votre transition professionnelle et votre création d’entreprise.

Se faire aider par les bons organismes

Les organismes professionnels sont parfois connus sous une mauvaise image (celle des déclarations fiscales, des relances…), mais ils peuvent pourtant être de parfaits alliés dans la création d’une entreprise. Ainsi, votre centre de formalités des entreprises (CFE) devra être votre premier interlocuteur si vous projetez d’ouvrir votre structure. Pour les libéraux, le CFE est l’URSSAF du département dans lequel vous souhaitez ouvrir votre entreprise. Pour les commerçants, en revanche, c’est la Chambre du commerce et de l’industrie du même lieu.

Les différents organismes vous permettront de créer des statuts sur mesure, de vous inscrire aux formations préalables obligatoires à l’exercice de votre activité et enfin, de ne rater aucune formalité essentielle au lancement de votre entreprise. De cette manière, vous avez l’assurance de ne pas vous perdre en chemin.

Faire appel à une agence de communication à Lille

Une fois votre entreprise lancée, il sera nécessaire de vous faire connaître auprès du public. Pour ce faire, vous pourrez contacter une agence de communication basée à Lille ou sur le lieu de votre siège social. Faire le point sur votre stratégie de communication vous permettra de vous faire connaître auprès de votre public et de lancer vos ventes dès le début de votre activité. Il est donc nécessaire de prévoir ce point en amont du lancement de l’activité, afin de ne pas perdre un temps précieux lors des premières semaines. Plus vous vous y prenez tôt, plus votre visibilité sera accrue.

N’oubliez pas que tout doit être parfait dès le lancement de votre entreprise : l’avis des premiers clients alimentera certainement le bouche-à-oreille local. Les différents audits ainsi que la mise en place de votre stratégie marketing doivent être réfléchis avant le lancement officiel de votre boutique.

Différentes aides financières à votre disposition en région lilloise

Créer une entreprise, la stratégie de communication

Les aides financières proposées par les personnes publiques locales (commune, département, région) peuvent être bénéfiques pour lancer son activité. Pour vérifier votre éligibilité à ces aides, il est nécessaire de contacter les établissements publics concernés et de remplir les dossiers administratifs délivrés.

Par ailleurs, des aides fiscales peuvent encourager la création d’activité dans votre région. Par exemple, l’exonération de TVA (franchise en base) pour les micro-entrepreneurs qui lancent leur activité est un excellent moyen de compléter ses revenus lors des premiers mois de travail. L’exonération de cotisation foncière des entreprises (CFE) durant l’année de création est également un bénéfice intéressant à réaliser.

Par ailleurs, des exonérations de paiement des charges sociales, telles que l’ACRE, peuvent être accordées sous certaines conditions. Il convient pour en savoir davantage de vous rapprocher de votre centre de formalités des entreprises (CFE) compétent ou de l’URSSAF de votre département. Vous pourrez y rencontrer des agents publics capables de vous renseigner sur les dispositifs existants en matière fiscale et sociale.

Loin d’être une adresse banale, le domicile de votre entreprise est celui qui est mentionné sur tous vos statuts et communications officielles. C’est également le lien entre vos clients et votre entreprise. C’est pour cette raison que vous devez vous assurer que toutes les conditions soient remplies pour leur garantir un accueil chaleureux. Il est important pour l’avenir de l’entreprise de choisir un domicile prestigieux et populaire. Découvrez toutes les informations pouvant vous être utiles à la domiciliation commerciale d’entreprise en ligne.

En quoi consiste la domiciliation d’entreprise ?

Domicilier une entreprise signifie simplement pour un entrepreneur de choisir une adresse administrative fiable et visible pour sa société. L’adresse en question va servir de vitrine sur tous les documents et communications officiels de l’entreprise. Il s’agit, en effet, du siège social de cette dernière. L’adresse doit être communiquée au service administratif. Par ailleurs, en domiciliant l’entreprise, on obtient par la même occasion une nationalité, ainsi que les droits et fiscalités y étant relatifs. Cela permet à la société de savoir vers quels tribunaux se tourner lorsqu’une situation de recours ou de défense face à un litige se présenterait. Il faut noter que cette adresse est aussi mentionnée sur le Kbis de la société.

Toute entreprise, quelle que soit sa nature, a l’obligation de se domicilier. Sans quoi, il lui est impossible d’effectuer les démarches d’immatriculation de la société. L’adresse du siège social est un incontournable d’un dossier d’immatriculation initiale, car elle y figure forcément. Vous devez garder à l’esprit que la déclaration du siège social ainsi que les preuves de son utilisation réelle sont vérifiées par le Centre de formalité des entreprises (CFE) et la greffe du tribunal de commerce. Pour les aider dans leur tâche, vous devrez leur fournir des factures, des copies de courriers reçus à l’adresse de domiciliation, des quittances de loyer, etc. Si vous changez votre adresse de siège social, vous êtes tenu de rédiger une déclaration spécifique afin d’en informer l’administration.

Domicilier son entreprise dans un local personnel

Il existe plusieurs manières de domicilier votre entreprise en ligne, dont la domiciliation à domicile. Ici, vous allez installer l’adresse de la société concernée dans un espace privé. En tant qu’entrepreneur, vous avez le droit de dédier une partie de votre habitation à votre entreprise. Cependant, vous devez respecter certains critères qui régissent l’opération. Vous allez tout d’abord, analyser les possibilités de pratiquer avec succès vos activités professionnelles dans le bâtiment. Ensuite, n’oubliez pas que l’autorisation de domiciliation de l’entreprise n’est pas obligatoirement utile à l’exercice de l’activité.

De plus, si vous êtes propriétaire et que vous n’envisagez de passer par une société de domiciliation pour enregistrer une adresse pour votre société, vous devez vous assurer que les clauses du règlement de copropriété de la maison vous permettent de vous en servir. Puis, vous informez la copropriété si le règlement n’est pas favorable. Cette méthode vous aide à obtenir une clientèle sans avoir à mener une campagne commerciale. Dans le cas où vous êtes un locataire, c’est votre contrat de bail qui va vous servir de référence. Il se pourrait bien que votre bailleur y ait inclus des conditions particulières. Le règlement local peut également vous être utile.

Cependant, la totalité de votre logement ne peut pas être totalement louée par votre société. En effet, une telle action n’est pas conforme à l’usage initial destiné à l’habitation. Vous devez donc préciser quelle surface sera employée pour les activités de l’entreprise, et ce selon le type d’activité concernée. Par exemple, les métiers libéraux ne demandent pas autant d’espace que les métiers de services à domicile.

Domicilier son entreprise dans un espace de coworking ou dans une société de domiciliation

Choisir d’héberger une entreprise dans une pépinière d’entreprises , permet aux entrepreneurs de faire des économies. Votre société pourra partager un local avec plusieurs autres sociétés. Les structures naissantes sont les plus avantagées par cette méthode. Par ce biais, elles peuvent bénéficier d’une série de faveurs telles qu’un suivi des démarches, la mise à disposition d’une salle de réunion ou des services communs de réceptions de clients ou de correspondances.

Vous pouvez également opter pour les services d’une société spécialisée en domiciliation d’entreprise en ligne. La seule condition est de vérifier qu’elle détient l’autorisation du préfet de département et est immatriculée. Ainsi, votre entreprise pourra jouir d’un siège social bien situé, d’une adresse postale, commerciale et administrative. L’entreprise de domiciliation se charge de réceptionner et de gérer vos courriers et vos colis, de mettre à votre disposition des salles pour vos réunions, et offre plusieurs autres services organisationnels, juridiques ou comptables. Il existe d’ailleurs des cas exceptionnels de domiciliation d’entreprise dans les locaux d’une autre entreprise en cas de filiation, par exemple.

La localisation de votre entreprise peut également être importante dans le cadre de vos relations commerciales. En effet, certaines activités peuvent nécessiter de se faire domicilier dans des grandes villes, ou à des adresses prestigieuses, c’est notamment le cas lorsque vous commercez à l’international ou dans des secteurs dits “de luxe”. Dans ces hypothèses, se faire domicilier à Paris peut être une bonne option pour le prestige et l’image de votre entreprise. A l’inverse, si vous souhaitez domicilier votre entreprise, mais que votre activité ne requiert pas une adresse connue, le fait de choisir des adresses peu connues ou à l’extérieur des grandes villes, peut vous permettre de bénéficier de tous les services proposés par ces sociétés de domiciliation à un coût moindre.

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