Introduction

Dans de nombreuses TPE et PME, la gestion commerciale repose encore sur l’intuition, la mémoire ou quelques fichiers Excel tenus “à la main”. Tant que l’activité reste stable, cette méthode semble suffisante. Mais dès que les volumes augmentent l’activité génère plus de prospects, plus d’opportunités, plus d’interlocuteurs, …

construire stratégie data driven

Au fil du temps, le pilotage devient moins pertinent : les informations se dispersent, les relances se perdent, et la performance commerciale échappe progressivement au dirigeant. Or, sans visibilité sur la réalité du pipeline et la qualité des leads, il devient difficile de prioriser les efforts, d’ajuster les budgets et de prévoir la croissance avec fiabilité.

Cet article explique comment le CRM peut aider à passer du pilotage au feeling à une démarche structurée et mesurable, fondée sur la donnée.

Nous verrons comment un outil,qu’il s’agisse de HubSpot, Pipedrive, Zoho, Sellsy, Monday CRM ou autre, peut transformer une gestion commerciale artisanale en un système clair et pilotable. L’objectif n’est pas de vanter un outil, mais de montrer, concrètement, comment ces solutions permettent d’unifier l’information, d’automatiser les relances, de suivre les indicateurs clés et de donner au dirigeant une vision fiable de sa performance commerciale.

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Le coût caché du pilotage “à l’instinct” : exemple d’une TPE

Lorsque nous avons accompagné un jeune dirigeant dans la reprise d’une menuiserie artisanale, un point de friction est apparu dès les premières semaines : l’ancien patron, menuisier expérimenté, n’avait besoin que de passer dans l’atelier pour piloter son entreprise.

En un coup d’œil, il savait qui travaillait sur quoi, où en étaient les chantiers et combien de temps il restait pour finir la préparation. Cette connaissance empirique, transmise par l’expérience et le contact direct avec l’équipe, valait à elle seule un tableau de bord.

Mais en changeant de mains, cette intelligence informelle s’est volatilisée. Le nouveau dirigeant, moins présent dans l’atelier, a vite constaté que les informations clés (avancement, délais, marges, priorités, …) étaient fragmentées entre les têtes, les carnets et les fichiers Excel. L’entreprise fonctionnait toujours, mais au prix d’une perte de visibilité : il fallait interroger chacun pour savoir où en était un chantier, relire les devis pour estimer la rentabilité, et espérer que personne n’oublie une commande urgente.

Ce mode de gestion “à l’instinct” paraît naturel dans une petite structure. Il s’appuie sur la confiance, la proximité et la débrouille. Pourtant, il a un coût réel, souvent invisible mais bien présent :

  • Un coût d’inefficacité d’abord, car chaque collaborateur passe du temps à chercher, vérifier ou ressaisir une information.
  • Un coût d’opportunité, ensuite : un client non relancé, un chantier mal priorisé, une commande oubliée peuvent représenter des centaines ou des milliers d’euros perdus.
  • Un coût stratégique, enfin : faute d’indicateurs fiables, le dirigeant pilote “au ressenti” et prend ses décisions sur des impressions, non sur des faits.

Dans la menuiserie que nous accompagnions, ces micro-pertes s’additionnaient : devis oubliés, heures de production non saisies, marges faussées par des retards ou des erreurs d’achat. Rien de catastrophique isolément, mais un effet cumulé qui rognait la rentabilité. Surtout, l’entreprise avait perdu sa capacité à se coordonner : le commercial ignorait l’état réel des chantiers, l’atelier ne savait pas quelles factures étaient réglées, et la direction manquait de repères pour anticiper la charge.

Pour corriger cela, il a fallu recréer artificiellement ce que l’ancien dirigeant possédait intuitivement : une vision claire et centralisée de l’activité.

Autrement dit, faire circuler les informations entre les services, connecter les données de production, de facturation, d’achat et de commerce, et construire un système fiable permettant à chacun de travailler à partir d’informations à jour, cohérentes et exploitables.

C’est précisément là qu’intervient la logique de la gestion commerciale outillée. Non pas pour remplacer l’expérience du terrain, mais pour la prolonger et la sécuriser. En adoptant un outil de suivi, souvent un CRM, les TPE et PME peuvent transformer un pilotage intuitif en un pilotage dynamique, mesurable et collectif. Les informations ne disparaissent plus dans les échanges informels : elles deviennent un capital accessible, partagé et durable.

Cette évolution ne relève pas d’un simple confort de gestion. Elle conditionne directement la performance économique : moins d’erreurs, une meilleure priorisation des efforts, et une vision de la rentabilité chantier par chantier ou client par client. En d’autres termes, passer d’un pilotage “à l’œil” à un pilotage “par la donnée”, c’est remplacer la perte silencieuse par du contrôle maîtrisé, et redonner au dirigeant la capacité de décider sur des faits, non sur des suppositions.

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1ère étape : standardiser les données avant de les analyser (fonctionsHubSpot et alternatives)

Installer un CRM en place ne résout rien par magie.

Avant d’espérer des tableaux de bord fiables ou des prévisions précises, il faut commencer par organiser les données commerciales. C’est le point de rupture entre une gestion intuitive et une gestion structurée : tant que les informations sont partielles, inégales ou saisies de manière aléatoire, aucun outil,même le plus performant, ne pourra produire de visibilité fiable.

Repartir des fondamentaux

La première étape consiste à définir un socle minimal de données.

Dans une TPE/PME, il ne s’agit pas d’empiler des champs, mais de choisir ceux qui donnent une lecture claire de l’activité :

  • l’origine du lead (canal, recommandation, site, salon…),
  • le propriétaire du dossier (commercial ou responsable),
  • le statut ou l’étape du cycle de vente,
  • le montant et la probabilité de signature,
  • la date de clôture prévue,
  • la prochaine action à mener.

Ce noyau permet déjà de savoir qui fait quoi, où en est chaque opportunité, et quelle valeur économique représente le pipeline.

Des règles simples mais partagées

Ensuite, il faut normaliser la saisie. Cela peut paraître administratif, mais c’est une condition de fiabilité. Un même type de client doit toujours être catégorisé de la même façon, une affaire perdue doit toujours avoir une raison de perte identifiée. C’est cette rigueur qui permet de transformer les données en indicateurs. 

Outiller la collecte : HubSpot et ses équivalents

À ce stade, le CRM devient un support de méthode. HubSpot offre, même dans sa version gratuite, la possibilité de créer des propriétés personnalisées, de suivre l’origine des leads via ses formulaires et d’imposer des champs obligatoires dans le pipeline.

Ces fonctions simples suffisent à instaurer une discipline de saisie homogène.

Des alternatives existent avec des philosophies proches :

  • Pipedrive permet de paramétrer des champs par étape du pipeline et de bloquer la progression d’une affaire tant qu’une donnée n’est pas complétée. Une garantie de rigueur.
  • Zoho CRM ou Monday CRM offrent une personnalisation poussée, utile quand les processus de vente sont spécifiques.
  • Sellsy relie directement les informations du pipe aux devis et factures, ce qui facilite le calcul des marges.
  • Freshsales introduit un scoring automatique des leads, pour hiérarchiser les efforts selon leur potentiel.

Si vous souhaitez en savoir plus, le Blog du Dirigeant a comparé certains des CRM cités :

Un chantier d’organisation avant tout

Standardiser les données, c’est aussi revoir la façon dont l’entreprise communique en interne.

Les commerciaux, le dirigeant, parfois même la comptabilité ou l’atelier, doivent parler le même langage. Un “lead chaud” doit signifier la même chose pour tous ; un “chantier en cours” doit correspondre à un statut précis et mesurable.

C’est cette cohérence qui transforme la donnée brute en outil de pilotage. Une fois les règles fixées, les équipes formées et le CRM structuré, il devient possible de croiser les informations, d’évaluer les canaux performants, de suivre la charge de travail et d’anticiper les retards.

En somme, avant de viser le “data-driven”, il faut d’abord être “data-ready”.

Le travail de normalisation, souvent invisible, est ce qui donne de la valeur au reste : sans base solide, un tableau de bord n’est qu’une illusion de contrôle. Cette fondation, simple, rigoureuse et partagée, permet ensuite de bâtir une véritable culture du pilotage dans l’entreprise.

Relation client avec le CRM HubSpot

Hébergement de site web avec Hostinger

Facturation avec Abby

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Instrumenter l’acquisition (formulaires & tracking HubSpot, Zoho, Freshsales)

Une fois les données structurées, encore faut-il les faire entrer dans le système sans effort ni oubli.

C’est souvent à ce stade que les TPE/PME se heurtent à une réalité : tant que la collecte dépend d’initiatives individuelles, une partie des informations continuera de se perdre.

Informatiser l’acquisition, c’est donc automatiser la capture et la traçabilité des opportunités pour garantir que chaque contact, chaque demande, chaque devis trouve sa place dans le pipeline à jour et qualifié.

Centraliser tous les points d’entrée

Le premier réflexe consiste à cartographier les sources de leads. Dans une petite structure, elles sont souvent multiples : formulaires web, appels entrants, emails, salons professionnels, réseaux sociaux, recommandations, voire simples passages à l’atelier ou au magasin.

L’objectif n’est pas de tout uniformiser, mais de faire en sorte que chaque nouveau contact entre automatiquement dans le CRM, identifié par son canal.

  • Sur un site vitrine ou un formulaire de contact, HubSpot propose un système de formulaires natif : toute soumission crée ou met à jour une fiche contact, avec le canal d’origine et l’URL de provenance.
  • Zoho CRM permet de connecter les formulaires web existants via une clé API ou d’utiliser Zoho Forms pour les centraliser.
  • Freshsales offre une intégration directe avec les campagnes publicitaires : un prospect venu d’une annonce Google ou Facebook est automatiquement créé dans le pipeline, avec le bon tag de campagne.

En parallèle, les emails entrants ou les appels peuvent être redirigés vers une boîte CRM partagée : l’adresse générique (ex. contact@entreprise.fr) alimente alors le système, sans ressaisie.

Tracer les interactions et qualifier sans surcharge

Instrumenter ne signifie pas espionner : il s’agit de suivre les signaux utiles pour améliorer la réactivité et la priorisation.

Grâce aux outils intégrés des CRM modernes, il est possible de :

  • enregistrer automatiquement les échanges (emails, appels, rendez-vous),
  • détecter les ouvertures d’emails ou les clics sur un lien,
  • relier un contact à sa source (formulaire, pub, réseau social),
  • suivre les pages visitées sur le site pour comprendre ses centres d’intérêt.

Ces informations, une fois centralisées, permettent d’ajuster le discours et de concentrer l’effort commercial sur les prospects réellement engagés. Un dirigeant gagne ainsi un temps considérable : au lieu de relancer à l’aveugle, il se concentre sur les leads les plus prometteurs.

Éviter les “trous” dans le pipeline

Sans automatisation, certaines opportunités n’entrent jamais dans le CRM : un appel oublié, un contact de salon non saisi, une demande via Instagram restée dans les messages privés. Chaque “trou” représente une perte potentielle de chiffre d’affaires.

Pour limiter cela :

  • paramétrez des intégrations simples (via Zapier, Make ou les connecteurs natifs) entre vos formulaires, boîtes mail et CRM ;
  • fixez une règle de saisie immédiate : toute interaction client doit créer une fiche ou enrichir une existante ;
  • vérifiez chaque semaine les “sources inconnues” dans le CRM pour corriger les oublis.

Relier marketing et commerce : la clé d’un suivi cohérent

Une fois la capture automatisée, le vrai levier se trouve dans le lien entre marketing et ventes. Un prospect issu d’une campagne emailing ou d’un post LinkedIn doit apparaître dans le CRM avec son historique : clics, téléchargements, formulaires remplis.

Les solutions comme HubSpot, Zoho ou Freshsales gèrent ce continuum nativement. HubSpot, notamment, relie le suivi marketing (emails, réseaux, publicité) au pipeline commercial : chaque contact garde la trace de son parcours jusqu’à la vente.

Cette continuité évite un écueil fréquent : des équipes marketing qui “créent du lead” sans savoir ce qu’il devient, et des commerciaux qui travaillent sans connaître le contexte d’origine. En synchronisant les deux, le dirigeant obtient une vision unifiée du parcours client : combien de leads générés, combien convertis, combien de chiffre d’affaires attribué à chaque canal.

Des bénéfices immédiats et mesurables

Instrumenter l’acquisition permet d’obtenir des indicateurs fiables dès les premières semaines : taux de transformation par canal, délai moyen de traitement des leads, nombre de contacts non traités, valeur du pipeline en temps réel.

Surtout, cela change la posture du dirigeant : il ne subit plus la gestion commerciale, il la pilote sur la base de faits. La donnée cesse d’être un fardeau administratif pour devenir un actif stratégique : un levier d’efficacité, de coordination et de rentabilité.

Ainsi, instrumenter, ce n’est pas complexifier le travail : c’est remplacer le hasard par de la méthode, et donner à chaque contact la valeur qu’il mérite, sans en perdre un seul en route.

Un tableau de bord dirigeant : 8 KPI qui tiennent sur une page

Une fois la collecte et la structuration des données en place, vient le moment décisif : transformer la donnée en pilotage. C’est là que beaucoup de TPE/PME échouent ou s’arrêtent à mi-chemin. Elles ont enfin un CRM, mais ne savent pas en extraire une lecture claire.

Trop de chiffres, pas de priorités, ou des rapports conçus pour les commerciaux plus que pour le dirigeant. Pourtant, quelques indicateurs bien choisis suffisent à offrir une visibilité complète sur la performance commerciale. Encore faut-il les tenir à jour et de les regarder régulièrement.

Un tableau de bord lisible avant tout

Un bon tableau de bord ne cherche pas l’exhaustivité, mais la pertinence immédiate. En une page, le dirigeant doit pouvoir répondre à trois questions :

  • Où en est le chiffre d’affaires attendu ?
  • Quels sont les dossiers ou clients à risque ?
  • Où faut-il concentrer les efforts dans les 15 prochains jours ?

Que le CRM utilisé soit HubSpot, Pipedrive, Zoho, Sellsy, Monday CRM ou Freshsales, l’enjeu est le même : disposer d’une vue synthétique, fiable et compréhensible sans expertise technique. La plupart de ces outils proposent des tableaux de bord préconfigurés, qu’il convient ensuite d’adapter au contexte de l’entreprise (activité, saisonnalité, cycle de vente, structure de marge).

Les 8 indicateurs clés pour piloter sans se noyer

Les grands groupes jonglent avec des dizaines de KPI ; une TPE ou PME n’en a besoin que de quelques-uns, bien calibrés. Voici ceux que nous retrouvons systématiquement dans les entreprises performantes :

1-Nombre d’opportunités ouvertes : volume total d’affaires en cours dans le pipeline.
2-Valeur du pipeline : montant cumulé des affaires, pondéré par leur probabilité de signature.
3-Taux de conversion global (win rate) : part des opportunités transformées en ventes réelles.
4-Durée moyenne du cycle de vente : temps entre le premier contact et la conclusion.
5-Valeur moyenne par client ou par contrat : utile pour mesurer la rentabilité du portefeuille.
6-Origine des leads : répartition des opportunités par canal d’acquisition (site web, bouche-à-oreille, salons, etc.).
7-Temps moyen de traitement d’un lead : indicateur de réactivité commerciale.
8- Chiffre d’affaires réalisé vs objectif : mesure de la performance réelle et du respect des prévisions.

Ces données, combinées, offrent une vision instantanée du présent et une projection réaliste du futur.

Visualiser, anticiper, décider

Les CRM modernes facilitent cette lecture :

HubSpot permet de construire un dashboard dirigeant en quelques clics, avec des graphiques dynamiques (pipeline, prévision mensuelle, taux de conversion par canal).

Pipedrive met l’accent sur la visibilité du pipeline : chaque opportunité se déplace visuellement d’une étape à l’autre, ce qui permet de repérer d’un coup d’œil les affaires bloquées.

Zoho CRM et Freshsales ajoutent des modules de prévision automatique et de scoring des leads, utiles pour prioriser les efforts.

Sellsy relie les données de facturation, offrant ainsi une lecture directe du cash et des marges réelles.

L’intérêt ne réside pas seulement dans la beauté du tableau, mais dans la capacité d’anticipation qu’il procure : savoir qu’un mois à venir sera creux, qu’un commercial accumule des deals dormants, ou qu’un canal d’acquisition s’essouffle avant qu’il ne soit trop tard.

Relier les chiffres à l’action

Un indicateur isolé n’a pas de valeur en soi. Ce qui compte, c’est ce qu’il déclenche. Un bon tableau de bord dirigeant n’est pas un outil de reporting, c’est un outil de décision rapide.

Quelques exemples concrets :

  • Si le temps moyen de traitement d’un lead dépasse trois jours, on revoit l’organisation des relances.
  • Si le taux de conversion baisse, on analyse la qualification des opportunités.
  • Si le pipeline gonfle sans se transformer, on revoit les priorités commerciales et les critères de suivi.

Chaque indicateur doit être relié à une action simple et mesurable. C’est ainsi que le tableau de bord devient vivant, utile, et adopté par l’équipe.

Rendre la donnée accessible et partagée

Enfin, un tableau de bord n’a de valeur que s’il est consulté et compris par tous les acteurs concernés. Dans les petites entreprises, il ne doit pas être réservé au dirigeant : le commercial, l’administratif et parfois même la production peuvent y trouver des informations utiles pour ajuster leur travail.

La plupart des CRM permettent de créer des vues différentes selon les profils :

  • une vue “dirigeant” centrée sur les résultats et la projection,
  • une vue “équipe” axée sur les tâches et les opportunités,
  • une vue “finance” connectée aux factures ou aux marges.

Partager la donnée, c’est créer une culture commune de la performance. On ne parle plus d’impressions ou d’intuitions, mais de faits vérifiables et accessibles.

Un outil au service du pilotage, pas l’inverse

Un tableau de bord efficace ne doit pas devenir un nouvel outil à “nourrir” pour cocher des cases. Sa valeur vient de la qualité des données en amont et de sa capacité à orienter les décisions. Il ne s’agit pas d’ajouter de la complexité, mais de simplifier la lecture du réel.

En résumé, un bon tableau de bord commercial tient sur une page, se met à jour automatiquement et alimente chaque semaine une discussion concrète : où en sommes-nous, où voulons-nous aller, et que devons-nous faire cette semaine pour y arriver ?

C’est à ce moment précis que la donnée cesse d’être une contrainte et devient un levier de performance. Les chiffres ne sont plus un miroir du passé, mais un outil d’action, au service du pilotage stratégique, c’est ce dont les dirigeants de TPE et PME ont besoin pour maîtriser leur croissance.

Suite de la première partie de cette article : Mettre en place un CRM performant sans y passer des semaines (2/2)

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Sommaire
  • Le coût caché du pilotage “à l’instinct” : exemple d'une TPE
  • 1ère étape : standardiser les données avant de les analyser (fonctionsHubSpot et alternatives)
  • Instrumenter l’acquisition (formulaires & tracking HubSpot, Zoho, Freshsales)
  • Un tableau de bord dirigeant : 8 KPI qui tiennent sur une page
  • Rendre la donnée accessible et partagée
  • Un outil au service du pilotage, pas l’inverse
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