Introduction

Une fois le besoin clarifié et les rituels en place, reste une étape décisive : choisir et paramétrer le bon outil. Pour beaucoup de dirigeants de TPE/PME, c’est le moment où le projet s’enlise : peur de choisir le “mauvais” CRM, crainte d’une mise en œuvre trop lourde, ou doute sur la capacité de l’équipe à l’adopter.

choisir et mettre en place un crm

Pourtant, un déploiement efficace ne demande ni mois d’analyse, ni consultants spécialisés. En suivant une logique simple fonctionnel, utile, évolutif il est possible de mettre un CRM opérationnel rapidement.

Définir le besoin, pas le produit

Avant de comparer les éditeurs, il faut répondre à une question : que veut-on résoudre ?

  • Manque de visibilité sur les ventes ?
  • Difficulté à suivre les prospects ?
  • Coordination entre commerce, production et facturation ?

Choisir un CRM doit découler de ces besoins concrets. Un dirigeant qui veut surtout améliorer le suivi client n’a pas les mêmes priorités qu’une entreprise de services qui cherche à raccourcir son cycle de vente. Inutile de viser la solution la plus complète si 80 % des fonctionnalités ne seront jamais utilisées.

Comparer les CRM selon trois critères simples

Plutôt que de se perdre dans des grilles comparatives de vingt pages, il suffit d’évaluer chaque solution sur trois dimensions essentielles :

CritèreQuestion à se poserExemples
Facilité d’adoptionL’équipe pourra-t-elle l’utiliser sans formation lourde ?HubSpot : interface intuitive, prise en main rapide.
Pipedrive : pipeline visuel et clair.
Freshsales : navigation simple, bonnes intégrations.
Adaptation au métierLe CRM colle-t-il à nos processus existants ?Sellsy : idéal si devis/facturation intégrés.
Zoho : hautement personnalisable, adaptable à tout secteur.
Monday CRM : souple pour les activités projet.
Coût et évolutivitéLe budget reste-t-il raisonnable à long terme ?HubSpot Starter : 15–30 €/mois, gratuit au départ, mais coût croissant selon modules.
Zoho CRM : plans complets dès 20 €/mois/utilisateur.
Pipedrive : abonnements progressifs et transparents.

Le bon CRM est celui qui épouse le niveau de maturité de l’entreprise, et non celui du copain ou celui qui en impose par la richesse de ses fonctions.

Un plan de mise en place réaliste en dix jours

La clé d’un déploiement rapide n’est pas la technique, mais la clarté du processus. Voici un schéma de base, éprouvé dans de nombreuses PME :

JourÉtapeObjectif concret
J1Importer les contacts existants (depuis Excel)Nettoyer, dédoublonner, classer les prospects/clients.
J2–3Créer le pipeline de venteDéfinir les étapes (prospect, proposition, négociation, gagné/perdu).
J4Paramétrer les champs essentielsOrigine du lead, montant, probabilité, prochaine action.
J5Configurer les utilisateurs et les droitsIdentifier qui voit quoi, qui modifie quoi.
J6–7Créer les modèles d’emails, de devis ou de tâchesStandardiser les relances et les messages récurrents.
J8Construire le tableau de bord dirigeantSélectionner 5 à 8 KPI clés (pipeline, win rate, cycle moyen…).
J9–10Former et tester sur des cas réelsEnregistrer 5 opportunités concrètes, vérifier les flux et la cohérence.

Ce plan fonctionne quel que soit l’outil (CRM HubSpot, Pipedrive, Zoho, Sellsy, Freshsales ou Monday CRM) et suffit pour atteindre un premier niveau de fiabilité.

L’art de rester simple

La tentation est grande de vouloir tout configurer d’un coup : automatisations, scoring, campagnes marketing, devis connectés, etc. Or, dans une petite structure, la priorité n’est pas d’avoir un CRM parfait, mais un CRM utilisé.

Quelques règles à respecter :

  • Ne créez pas plus de champs que nécessaire : 10 à 15 suffisent.
  • Ne multipliez pas les pipelines si un seul peut couvrir l’activité.
  • N’ajoutez pas d’automatisation tant que les bases ne sont pas stables.
  • Mesurez l’adoption avant de complexifier (taux de saisie, deals mis à jour, tâches réalisées).

Une configuration simple garantit une adoption rapide, un apprentissage naturel et une maintenance allégée.

Former et responsabiliser plutôt que contrôler

La meilleure configuration perd tout intérêt si les utilisateurs ne se l’approprient pas. Dans une TPE/PME, le facteur humain prime : il faut donner du sens à l’outil.

  • Présentez le CRM non comme un moyen de surveillance, mais comme un gain de temps.
  • Nommez deux référents internes chargés de veiller à la qualité des données.
  • Mettez en place un rituel de suivi (revue pipeline hebdomadaire, rapport mensuel).

Un CRM bien utilisé ne demande pas plus de dix minutes de mise à jour par jour et devient rapidement un réflexe naturel.

Évaluer le retour sur investissement dès les premières semaines

Un bon test pour savoir si la configuration est réussie : après un mois, le dirigeant doit pouvoir répondre à trois questions simples grâce au CRM :

  1. Quelle est la valeur de mon pipeline aujourd’hui ?
  2. Quelles sont les 10 affaires les plus urgentes ?
  3. Quelle part de mon chiffre vient de mes 3 meilleurs canaux ?

Si ces réponses sont accessibles en moins d’une minute, le CRM est correctement paramétré. Le ROI se mesure ensuite par :

  • la réduction du temps passé à chercher une information ;
  • l’augmentation du taux de relance et du taux de transformation ;
  • la diminution des oublis et doublons ;
  • la fiabilité accrue des prévisions commerciales.

En général, ces gains apparaissent dès le deuxième mois d’utilisation active.

Le mot-clé : pragmatisme

Mettre en place un CRM ne doit pas être vécu comme une transformation digitale lourde, mais comme une étape naturelle de professionnalisation. Un outil simple, bien configuré et alimenté régulièrement vaut infiniment plus qu’une usine à gaz sous-exploitée.

Qu’il s’agisse de HubSpot et de sa facilité d’adoption, de Zoho pour sa richesse fonctionnelle, de Pipedrive pour sa clarté, de Sellsy pour son lien avec la facturation, ou de Freshsales pour son efficacité terrain, tous ces outils partagent la même vocation : donner au dirigeant une vision claire, fiable et exploitable de son activité.

Et au fond, c’est là l’essentiel : dans un environnement où tout s’accélère, mieux vaut un CRM imparfait mais vivant, qu’une gestion “à l’instinct” qui, elle, coûte cher chaque jour sans qu’on le voie.

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Mesurer le ROI et itérer (sans perfectionnisme)

Mettre en place un CRM n’est pas une fin en soi : c’est un processus d’amélioration continue. Une fois l’outil adopté, la question centrale devient : qu’est-ce que cela nous rapporte réellement ?

Pour le dirigeant de TPE/PME, le retour sur investissement d’un CRM se mesure à la fois en gains financiers directs (plus de ventes, moins d’oublis, meilleure marge) et en efficacité opérationnelle (temps gagné, décisions mieux informées, coordination renforcée). Mais il faut apprendre à le mesurer simplement, sans tomber dans la complexité ni le perfectionnisme.

Le vrai ROI d’un CRM : reprendre le contrôle du process commercial

Dans les premières semaines, les bénéfices sont souvent qualitatifs : on retrouve des informations, on anticipe mieux les retards, on identifie les clients à fort potentiel.

Puis viennent les gains chiffrés :

  • une hausse du taux de conversion (grâce à un meilleur suivi et des relances systématiques) ;
  • une réduction du cycle de vente, car les prochaines actions sont planifiées et suivies ;
  • une augmentation du panier moyen par une meilleure visibilité des ventes croisées et complémentaires ;
  • une meilleure fiabilité du prévisionnel, qui permet d’anticiper la trésorerie et les besoins en production.

Pour beaucoup de TPE/PME accompagnées, ces effets apparaissent dès le deuxième ou troisième mois. Dans certains cas, l’outil s’autofinance dès la première affaire récupérée grâce à une relance automatisée.

Suivre les bons indicateurs dans le temps

Le ROI d’un CRM se mesure à travers des indicateurs simples mais réguliers :

  • Taux de conversion : part des opportunités transformées en clients.
  • Délai moyen de traitement : temps entre la création du lead et la première action commerciale.
  • Cycle de vente moyen : durée entre premier contact et signature.
  • Valeur moyenne des ventes : évolution du panier moyen.
  • Volume de leads traités par collaborateur : mesure de la productivité.

Ces données, extraites automatiquement de votre tableau de bord dans HubSpot, Zoho CRM ou Pipedrive, permettent d’évaluer la progression de la performance. Si le taux de conversion progresse et que le cycle de vente se raccourcit, le CRM joue pleinement son rôle.

Tirer des décisions data-driven

L’intérêt du CRM ne réside pas dans la donnée brute, mais dans la décision qu’elle éclaire. Quelques exemples de décisions typiques issues d’un pilotage data-driven :

  • Réaffecter le budget marketing sur les canaux qui génèrent les leads les plus rentables.
  • Revoir la qualification des prospects si beaucoup de deals échouent en phase tardive.
  • Identifier les clients les plus fidèles pour concentrer les efforts de fidélisation.
  • Supprimer une étape inutile du pipeline si elle allonge le cycle de vente sans créer de valeur.

Dans HubSpot ou Monday CRM, ces analyses peuvent se faire en quelques clics grâce aux rapports automatiques ; Sellsy et Zoho permettent de relier ces données aux factures et aux marges réelles, pour relier directement effort commercial et résultat financier.

Accepter l’imperfection : itérer plutôt que tout reconstruire

Beaucoup de dirigeants tombent dans un piège : vouloir “refaire” complètement le CRM dès qu’ils découvrent des incohérences dans les données. C’est une erreur. La vraie efficacité vient de la progression continue, pas de la refonte permanente.

Chaque mois, prenez 30 minutes pour :

  • supprimer les doublons,
  • corriger les statuts incohérents,
  • enrichir les fiches clients stratégiques,
  • ajuster les champs ou les étapes qui ne servent pas.

Un CRM vivant s’affine au fil du temps, à mesure que les équipes s’en servent. Il évolue avec l’entreprise, sans la freiner.

Donner du sens aux chiffres

Pour les dirigeants comme pour les équipes, la donnée n’a de valeur que si elle parle. Il est donc essentiel de transformer les rapports en narration :

  • “Nous avons gagné trois jours sur notre cycle moyen ce mois-ci.”
  • “Nos leads issus du site web convertissent deux fois mieux que ceux des salons.”
  • “Nos devis à plus de 10 000 € ont un taux de succès inférieur à 20 % — pourquoi ?”

Ces constats simples, issus des tableaux de bord HubSpot ou Pipedrive, nourrissent la réflexion stratégique et l’amélioration collective. Le CRM devient alors un outil de pilotage partagé, pas un tableau réservé au dirigeant.

Le ROI global : bien plus qu’une équation financière

Au-delà des chiffres, un CRM performant apporte trois bénéfices majeurs :

  • La sérénité : les données sont fiables, à jour, accessibles à tout moment.
  • La continuité : l’entreprise ne dépend plus de la mémoire ou de la présence d’une seule personne.
  • La croissance maîtrisée : le dirigeant sait d’où vient son chiffre, où il va, et comment l’améliorer.

Autrement dit, le CRM ne rapporte pas seulement des ventes supplémentaires : il stabilise la performance et renforce la valeur de l’entreprise.

La boucle vertueuse de l’amélioration continue

Une fois la mesure du ROI installée, le cycle peut se répéter : observation => décision => action => résultat.

Chaque trimestre, on affine les indicateurs, on ajuste les automatisations, on corrige les erreurs. C’est ce rythme d’itération, et non la sophistication de l’outil, qui crée la performance durable.

Qu’il s’agisse de HubSpot, de Zoho, de Sellsy, de Pipedrive ou de Freshsales, le CRM devient alors un véritable levier de pilotage, capable d’éclairer chaque choix stratégique, d’améliorer chaque euro investi, et de donner au dirigeant ce qu’il recherche avant tout : une vision claire, mesurable et prévisible de la croissance.

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large panel de fonctionnalités marketing

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Forfait évolutif et adaptable suivant les besoins

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Solution de gestion tout en un

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600 avis
bon logiciel de prospection, pensé par des commerciaux

Encadré pratique : où placer HubSpot sans biais

Dans le vaste écosystème des CRM, HubSpot occupe une place singulière : celle d’une solution “tout-en-un” qui séduit par sa simplicité, sa version gratuite et sa montée en puissance progressive.

Mais pour un dirigeant de TPE ou de PME, la question n’est pas de savoir si HubSpot est “le meilleur CRM”, elle est de comprendre où et quand il est pertinent, et comment il se compare aux autres solutions du marché.

HubSpot dans l’arsenal : un excellent point de départ

HubSpot a un atout rare : il permet de commencer gratuitement, avec des fonctionnalités déjà suffisantes pour structurer une activité commerciale.
Dans sa version de base, on trouve :

  • la gestion illimitée des contacts et du pipeline,
  • la création de formulaires web,
  • l’intégration automatique des emails et des rendez-vous,
  • un suivi des échanges (emails, appels, tâches, notes),
  • des rapports simples sur les ventes et les performances.

Pour un dirigeant qui sort d’un suivi “à l’instinct”, c’est souvent une révolution silencieuse : l’entreprise passe d’un suivi éparpillé à une vue unique, claire et dynamique.

HubSpot devient particulièrement pertinent lorsqu’il s’agit de :

  • mettre en place une base CRM sans friction, en important ses contacts Excel ;
  • standardiser les relances grâce à des modèles d’emails et des tâches automatiques ;
  • centraliser la communication entre les différents intervenants (dirigeant, commercial, administratif) ;
  • déployer rapidement un tableau de bord pour suivre les indicateurs clés (pipeline, taux de conversion, prévision).

Mais HubSpot ne se limite pas au commercial : ses modules Marketing, Service et CMS peuvent ensuite prolonger l’usage vers l’automatisation, la relation client et la gestion du contenu. Un atout pour les structures qui veulent grandir sans changer d’outil.

Les limites du modèle : quand le gratuit devient trop court

Comme toute solution freemium, HubSpot séduit par sa facilité d’accès, mais ses limites apparaissent dès que l’entreprise se structure :

  • les workflows avancés (scénarios automatiques, scoring, segmentation fine) sont réservés aux plans payants ;
  • certaines fonctionnalités (rapports personnalisés, prévision avancée, automatisation marketing) peuvent rapidement faire grimper la facture ;
  • le modèle tarifaire par “Hub” (marketing, vente, service) peut rendre l’évolution coûteuse si plusieurs briques sont activées.

En pratique, le seuil de passage entre le plan gratuit et la version payante se situe souvent autour de deux besoins : la personnalisation fine du reporting et l’automatisation des relances.
C’est là que le dirigeant doit se poser la question du retour sur investissement : ces fonctions avancées génèrent-elles réellement un gain mesurable (temps, ventes, coordination) supérieur à leur coût ?

Les alternatives sérieuses à HubSpot

Plusieurs outils offrent des fonctionnalités comparables, parfois mieux adaptées à certains contextes :

CRMProfil idéalForces principalesLimites
PipedriveDirigeant commercial ou équipe orientée ventesPipeline très visuel, suivi intuitif, rapports clairsPeu d’outils marketing natifs
Zoho CRMEntreprise cherchant un rapport fonctionnalités/prix optimalPersonnalisation poussée, automatisations puissantes, tarif abordableInterface plus dense, légère courbe d’apprentissage
SellsyPME voulant relier CRM, devis et facturationSolution française tout-en-un (CRM + facturation)Moins fluide sur le reporting avancé
FreshsalesPME souhaitant un CRM simple mais connecté à leur support clientIntégration native avec emailing et service clientMoins d’écosystème marketing que HubSpot
Monday CRMStructures orientées gestion de projetsFlexibilité totale des tableaux et automatisationsConfiguration initiale plus technique

HubSpot se distingue donc par sa cohérence d’ensemble : tout y est fluide, clair, ergonomique. Mais sur le terrain, certaines TPE préféreront la simplicité visuelle de Pipedrive ou la polyvalence économique de Zoho. L’enjeu n’est pas de choisir “le meilleur outil”, mais le plus adapté au moment de maturité de l’entreprise.

Bonnes pratiques neutres : tirer parti de n’importe quel CRM

Quel que soit le CRM choisi, les bonnes pratiques de pilotage restent universelles :

  • Documenter le process commercial : étapes, critères, délais, responsabilités.
  • Limiter les champs obligatoires aux informations réellement utiles.
  • Centraliser les échanges (emails, devis, factures) dans un même environnement.
  • Former deux référents internes chargés de maintenir la qualité de la donnée.
  • Faire une revue trimestrielle du pipeline et des indicateurs clés.

Ces principes garantissent une utilisation durable et une montée en compétence progressive, sans dépendre d’un éditeur.

Relation client avec le CRM HubSpot

Hébergement de site web avec Hostinger

Facturation avec Abby

Relation client
avec le CRM HubSpot

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En synthèse : HubSpot, un bon allié, pas une solution miracle

Pour une petite entreprise, HubSpot est un excellent point d’entrée dans la culture CRM : intuitif, gratuit, évolutif, il permet de poser des bases solides sans effort. Mais il ne remplace ni la méthode, ni la discipline collective nécessaires à la fiabilité des données.

Le véritable levier ne réside pas dans le choix du logiciel, mais dans la capacité du dirigeant à instaurer une logique de pilotage rigoureuse.
HubSpot, Zoho, Pipedrive, Sellsy ou Freshsales ne sont que des instruments ; c’est la musique (les processus, les rituels, la qualité des données) qui fait la différence.

Un CRM bien choisi et bien utilisé devient alors un tableau de bord de performance en temps réel, un outil de coordination et une mémoire d’entreprise. Ce n’est pas un luxe technologique, mais une nouvelle manière de diriger : plus lisible, plus prévisible, et surtout plus rentable.

Retrouvez la deuxième partie de cette article Mettre en place un CRM performant sans y passer des semaines

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Sommaire
  • Mesurer le ROI et itérer (sans perfectionnisme)
  • Encadré pratique : où placer HubSpot sans biais
  • En synthèse : HubSpot, un bon allié, pas une solution miracle
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