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Pourquoi l’usage partiel des outils freine la croissance et comment HubSpot y met fin ?
Un dirigeant de PME m’a un jour confié : “On dépense, on s’équipe… et pourtant rien ne change.” Dans beaucoup d’entreprises, les outils numériques s’entassent, les licences s’accumulent, mais seuls 30 % de leur potentiel sont réellement utilisés laissant place à un quotidien fait d’extractions Excel, de données éparpillées et de décisions prises à l’instinct.

Ce sous-usage n’est pas un détail : il crée des coûts invisibles, ralentit les équipes et empêche de piloter l’activité avec fiabilité.
Cet article montre pourquoi ce gaspillage est structurel, comment il freine la croissance, et surtout comment une plateforme marketing com le Marketing Hub de HubSpot corrige durablement le problème par la centralisation, l’automatisation et la mise en cohérence des actions commerciales et marketing. Les dirigeants y trouveront des leviers simples, concrets et immédiatement applicables.
La dette numérique, un frein sous-estimé : comment se forme-t-elle réellement dans une PME ?
Tout dirigeant connaît cette sensation étrange : avoir « plein d’outils » mais avoir l’impression que rien n’est vraiment fluide. Un CRM renseigné à moitié, des automatisations non paramétrées, une facture SaaS qui s’allonge… et malgré cela, un pipeline commercial qui ne gagne pas vraiment en vitesse. C’est exactement ce qu’on appelle la dette numérique : l’écart entre ce que l’entreprise pourrait faire avec ses outils… et ce qu’elle fait réellement.
Un écart discret, mais coûteux car l’entreprise le paie en licences et investissements inutilisés, mais aussi en efficacité perdue, en temps gaspillé et en opportunités commerciales manquées.
Les PME utilisent-elles vraiment leurs outils à leur plein potentiel ?
Les données publiques montrent que ce sentiment n’est pas isolé.
Cela confirme un point majeur : la plupart des outils sont déjà là, mais sous-utilisés.
Pourquoi l’usage partiel génère-t-il une dette numérique ?
Qu’il s’agisse d’un CRM (HubSpot, Salesforce, Zoho) ou d’une solution marketing (Brevo, ActiveCampaign, Plezi), un outil partiellement utilisé crée mécaniquement :
- de la double saisie,
- des relances oubliées,
- des données incohérentes,
- une absence de pilotage fiable.
C’est l’usage fragmenté, pas l’absence d’outil, qui crée le problème.
Quels risques concrets pour la croissance ?
Le baromètre national sur la maturité numérique révèle que 52 % des dirigeants de TPE/PME craignent la désorganisation ou la perte de données liée à une mauvaise intégration des outils (source : baromètre officiel – France Num / Ministère de l’Économie – « Baromètre France Num 2025 »).
Sur le terrain, cela se traduit par :
- des prospects non traités,
- un cycle de vente plus long,
- un coût d’acquisition plus élevé,
- une perte de compétitivité face aux entreprises mieux structurées.
Comment unifier sans complexifier ?
Les plateformes intégrées comme HubSpot, Salesforce ou Brevo n’apportent pas une “solution miracle”, mais un cadre. Elles centralisent données, interactions et automatisations dans un seul système, ce qui réduit immédiatement la dette numérique en supprimant doublons, dispersion et tâches manuelles superflues.
Quels sont les impacts concrets de la dette numérique sur l’efficacité commerciale d’une PME ?
La dette numérique ne se voit pas immédiatement, mais ses effets sont très concrets : cycles de vente qui s’allongent, pertes d’opportunités, erreurs de suivi, reporting approximatif. Elle agit comme un « impôt invisible » qui réduit la performance commerciale sans que l’entreprise ne comprenne précisément pourquoi. Cette partie explore les manifestations les plus fréquentes de cette dette et leurs effets mesurables.
Comment la fragmentation des outils dégrade-t-elle la performance commerciale ?
Les études montrent que les PME qui utilisent plus de cinq outils non connectés perdent en moyenne 20 à 30 % d’efficacité opérationnelle.
En pratique, cela signifie :
- des données éparpillées,
- un pipeline commercial peu fiable,
- des doublons et des pertes de prospects,
- des actions manuelles chronophages.
Dans nombre de PME françaises, un CRM (HubSpot, Salesforce, Zoho) cohabite avec des fichiers Excel, des formulaires isolés ou des outils maison… et rien ne circule vraiment.
Pourquoi l’usage partiel d’un CRM aggrave-t-il la dette numérique ?
Selon un benchmark européen, près de 60 % des PME n’utilisent que 20 à 30 % des fonctionnalités de leur CRM Résultat :
- les commerciaux ne priorisent pas les leads,
- le suivi est irrégulier,
- aucune automatisation n’est en place,
- la direction manque de visibilité sur le pipeline.
Peu importe l’outil (HubSpot, Salesforce, Brevo ou ActiveCampaign), c’est le manque d’intégration et de gouvernance qui crée la dette.
Quel est le coût réel de la dette numérique pour une PME ?
Un rapport gouvernemental indique que les TPE/PME perdent jusqu’à 25 % de productivité en raison du manque d’intégration numérique.
Concrètement :
- plus de temps passé à rechercher l’information,
- des relances manquées,
- des erreurs de qualification,
- un coût d’acquisition plus élevé.
Ce coût est souvent supérieur aux dépenses liées à l’achat des outils eux-mêmes.
La dette numérique génère-t-elle un risque financier ?
Malheureusement oui. Une enquête européenne montre que 57 % des PME estiment que leurs outils actuels ne leur permettent pas de croître au rythme souhaité. La dette numérique empêche les équipes commerciales d’absorber un volume croissant de prospects, ce qui limite directement la capacité de croissance.
Cas concrets : comment des PME françaises ont réduit leur dette numérique
Les PME qui ignorent la dette numérique s’en rendent rarement compte avant crise ; celles qui l’abordent obtiennent des résultats tangibles. Voici des entreprises françaises dont l’usage d’une plateforme CRM-marketing ou d’un hub intégré a permis de « rembourser » leur dette numérique et de relancer la croissance.
Prezevent : automatiser pour absorber la croissance
Dans le secteur événementiel, Prezevent a utilisé HubSpot pour répondre à un afflux rapide de demandes. Résultat : croissance annuelle du CA +40 %, rendez-vous multipliés par 3, et taux de conversion des leads entrants +80 % (source : Étude de cas – site HubSpot FR – « Prezevent augmente son chiffre d’affaires de 40 % par an »).
L’alignement marketing-vente et la connexion des données ont permis de solder une grande partie de la dette numérique.
Wiiisdom : fiabiliser les leads pour sécuriser les décisions
Wiiisdom, éditeur logiciel BtoB, a employé HubSpot Marketing Hub + Sales Hub pour regrouper ses outils existants. Elle a obtenu +20 % de SQL et +3,5 % de conversion des MQL en SQL (source : Étude de cas – site HubSpot FR – « Comment HubSpot a permis à Wiiisdom de transformer ses leads qualifiés »).
Grâce à cette intégration, la dette numérique liée aux doublons et aux données erratiques a été réduite.
Primeum : restructurer pour redémarrer la croissance
Primeum, cabinet français, a déployé HubSpot pour structurer son acquisition. Résultat : +252 % de leads générés en 12 mois et +200 % de sessions Web (source : Étude de cas – site HubSpot FR – « Comment Primeum a généré +252 % leads en un an »).
Cet effort a permis de solder l’usage fragmenté d’outils multiples et de réduire significativement la dette numérique
Que faut-il retenir ?
La dette numérique n’est pas un concept théorique : c’est l’un des freins les plus concrets à la croissance des PME. Elle naît lorsque les outils existent, mais ne sont ni connectés, ni utilisés pleinement, ni intégrés dans les processus. Ce décalage entre le potentiel et l’usage réel finit par peser sur le pipeline, la productivité et la qualité du suivi commercial.
Trois enseignements majeurs se dégagent :
- La dette numérique coûte plus cher que les outils eux-mêmes.
Elle génère double saisie, pertes de prospects, décisions prises à l’aveugle. À long terme, elle réduit la capacité d’une PME à capter et convertir les opportunités. - Les platefovrmes intégrées réduisent immédiatement les frictions.
HubSpot, Salesforce, Brevo ou ActiveCampaign offrent une logique commune : unifier CRM, marketing et données pour simplifier les opérations. Ce n’est pas l’outil qui crée la performance, mais la centralisation. - L’automatisation et le reporting unifié accélèrent la croissance.
Des scénarios simples (relances, attribution automatique, suivi des signaux chauds) suffisent pour transformer la cadence commerciale et réduire les pertes invisibles.
FAQ
La dette numérique désigne l’écart entre les outils dont dispose l’entreprise et leur niveau d’usage réel, souvent très inférieur. Elle se traduit par des pertes de temps, des données dispersées, un manque de pilotage et une performance commerciale affaiblie.
Certains signaux sont révélateurs : double saisie, reporting manuel, CRM incomplet, outils non connectés ou relances oubliées. Si l’équipe utilise plus d’Excel que l’outil censé la simplifier, la dette numérique est déjà installée.
Un CRM unifié (HubSpot, Salesforce, Brevo, Zoho…) ne règle pas tout seul la dette numérique, mais il simplifie fortement l’organisation en centralisant données et processus. Le vrai impact vient de la manière dont l’outil est intégré, configuré et utilisé au quotidien.
Non, mais quelques automatisations simples (relances de devis, attribution automatique, alertes sur signaux chauds) permettent d’éliminer les plus grosses pertes opérationnelles. Elles réduisent la charge mentale et améliorent la régularité du suivi commercial.
Les premiers effets apparaissent souvent en 30 à 60 jours si l’on centralise les outils et active des scénarios simples. Une réduction durable demande toutefois un pilotage régulier pour maintenir la base de données propre et les processus cohérents.



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